Image à la une : Vue du Mellah de Fès, prise depuis Dhar Mahrès

Le texte que nous proposent Jeanne et Michèle Lévy a fait l’objet de diverses conférences données, par Judah M. Bensimhon, aux « Amis de Fès », à l’association « Tourisme et Culture » – qui a succédé aux « Amis de Fès » – et à la Société d’Histoire et d’Archéologie de Tanger.

Les historiens de l’Antiquité ont négligé la référence au texte biblique, ce qui n’étonnera personne : ils n’étaient pas hébraïsants et de plus, pourquoi auraient-ils été intéressés par autre chose que par leurs propres certitudes ? Notre grand-père n’était pas historien mais il avait en lui ce besoin de rechercher la source. Il aimait le Maroc, il aimait ses racines hébraïques, il aimait poser des hypothèses et s’enhardir jusqu’à les éclairer de preuves, il avait une approche intellectuelle hardie dont il aimait se réjouir. Jeanne Lévy. (Avril 2021).